codes-barres et inégalités

codes-barres et inégalités

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Voici   ci-dessus  le code-barre de Madame X.
A bien le regarder, il ne paraît pas très différent de celui de Mr Z ci-dessous.

Tous deux, on les dirait empruntés à la nature, à la nature des arbres dirait-on, à la nature des couleurs pastels qui sourdent çà et là, discrètes et efficaces.

Tous deux on les dirait presqu’identiques, à croire, dans cette forêt de barres, que la nature profonde des unes et des autres aurait le même fond : ce fond de troncs , de branches barrant l’ espace, d’ancrage au sol, de cette façon, dirait-on à bien regarder, de tendre vers le haut.

Que finalement, cette femme qui court avec les loups aurait avec l’homme qui fait de même, le même fond , la même nature – à la différence qu’ils ne feraient pas cette course en même temps même s’ils la font avec les mêmes loups.

Presqu’identiques  ces deux codes-barres ?  Non, pas tout à fait : dans l’un on voit poindre pour la femme le droit d’accoucher sous X et d’être dans le pur déni de filiation, et pour l’homme de ne pas disposer de ce même droit. Cette inégalité, dans un domaine aussi fondamental, me crie quelque chose que les loups ne m’ont pas enseigné.

photos JVL - Ortho - 8 à 12 mars 2010

 

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Commentaires

Si votre propos équivalait vos photos ...
Votre approche partielle voire partiale de ce droit reconnu aux génitrices, oublie et passe sous silence une pratique ancestrale si ce n'est ancienne, des hommes qui sèment à tous vents.
De ceux qui ne se préoccupent à aucun moment des conséquences de leurs actes sexuels ni vis-à-vis de la femelle, ni vis-à-vis de la possible progéniture.

Et ce serait croire que les rares femmes accouchant sous X le font de gaieté de coeur, en pure insouciance et peut-être avec plaisir !

Tirésias qui a vécu l'expérience particulière de la jouissance féminine et l'a évalué 9 fois supérieure à celle de l'homme, n'a pas eu à connaître des contraintes et parfois des souffrances endurées par les parturientes.
C'est heureux car l'humanité aurait cessé d'évoluer si les hommes devaient enfanter !

Une louve qui vous salue.